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 Castlevania : Aria of Sorrow
Par Sana-Kan, le 04-08-2004
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Genre: Action RPG
Support: Game Boy Advance
Sortie Japonaise: 07/05/2003
Sortie US: 08/05/2003
Sortie France: 09/05/2003
Editeur: Nintendo
Développeur: Konami |
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Cet épisode des castlevania se déroule en 2035. Soma Cruz un jeune étudiant en voyage au japon est sur le point de rejoindre son amie et camarde de classe Mina Hakuba, au temple du Cheval Blanc, dont le père de la jeune fille est gardien. Ce rendez-vous a lieu pour une occasion rare : la première éclipse solaire totale du XXIéme siècle.
Alors qu'il gravit les dernières marches, et alors que l'obscurité commence a recouvrir la ville Soma Cruz perd conscience. Réveiller par la voie de Mina, Soma se réveille sur le parvie d'un gigantesque chateau baroque, où l'attend le mystérieux Genya Arikado...
Lointain descendant de la lignée des Belmonts, il sera amené à accomplir leur mission ancestrale : chasser le Comte Dracula dont la force renaît tous les 100 ans. Et c'est de l'éclipse solaire qu'a surgit une fois encore sa demeure légendaire, son second corps, le castlevania.
 
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En tant que grand fan de la série j'avoue avoir émis les mêmes doutes que de nombreux fans à la lecture du synopsis de ce 3émé opus pour la GBA. D'abord c'est la première fois qu'un castlevania se projette dans le futur. Ensuite le héros s'émancipe completement de la tradition des fouetteurs institué depuis Sonia Belmont, la fondatrice de la Famille : cette fois ci on plutot affaire à un chanteur de visual Key qui manie l'épée ( comme adrian farenheit qui vient souvent porter main forte aux belmonts ) et qui n'est pas tout a fait conscient de sa mission.
Treve de vilaine critique, j'ai été ravi de m'apercevoir que j'avais tort, et c'est peut etre meme un des meilleur épisode de la série.
Le systéme de collecte d'âmes est original, il en existe 112 à obtenir, ce qui accroit sensiblement la durée de vie du jeu. La maniabilité est irréprochable. Et enfin le background est finalement bien respecté : les lieux myhtique sont préservé, les Boss sont impressionnants, et les ennemis ont bénéficié d'un chara-design soigné.
On est donc très vite replongé dans l'ambiance de la saga : le chateau quasi-organique essaie d'avaler et digérer le héros, rempli comme un gros sac de l'armée du compte ( golems, char squellete, faucheuse imbuttable, servante meurtriére et loup-garou kung-fu...) un gigantesque bestaire gothico-kitsh, dont chaque âmes permet d'accroitre la puissance de Soma.
L'évolution dans le jeu est bien équilibré, dans les premières minutes on tente de survivre a une marée de goules avec pour seul arme un couteau a beurre et des jambes qui courrent vite ( survival-horror ), puis on devient progressivement un démon guerrier qui traverse les salles au pas de cours en claquant des sorts 10 par 10 dans un festival pyrotechnique ( mode hokuto no ken : les ennemis meurent après le passage du héros, très enervant pour récupérer les items que l'on a semer comme le petit poucet ).
Les nombreux secrets que renferment le chateau finiront d'immerger le joueur dans la partie, et occasionnellement, rallongeront sa durée de vue un peu courte. En effet c'est un des castlevania les plus facile a finir : peut être aussi parce qu'il est un des plus maniable, sont glorieux ancêtre étant réputés pour donner des gros doigt aux acahrnés qui y joue trop.
Ces même acharnés de l'exploration auront peut être la joie d'y retrouver un ancien et précieux artefact, l'arme ultime et fouet éponyme de la série : le cultissime "vampire killer".
 
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