RPG Kingdom RPG Kingdom
 
I hate hate hate hate hate hate hate hate hate hate hate hate hate hate hate you! - Kefka, Final Fantasy VI
 
 
Menu
:: News
:: Encyclopedie
:: Dossiers
:: Reviews
:: Articles
:: Critiques d'Ost
:: Médias
:: Divers
:: Interactif
:: Emulation
Online
:: Membre

:: Inscription
:: En savoir plus...
:: Identification

:: Sondage

Dernières News
:: Final Fantasy XI ...
:: Charts des ventes...
:: Charts des meille...
:: Piiikaaaacchuuuuu...
:: Koei s'active en ...
:: Informations pour...
:: Square Enix : enc...
Nos partenaires

RPG Soluce
Son of Destiny
Final Fantasy Ring
Finaland
Perfect Zelda
Creative Uncut
JV-RPG
Jin'Sei RPG
Manga's Land
RPG One
Dark Gaia
Central Game
Emuland
Legendra
Alpha-Emul
Final Fantasy 0


rpg

 


Zelda: Link's Awakening


Titre: Zelda: Link's Awakening
Plate-forme: GameBoy
Genre: Action-RPG
Developpeur: Nintendo
Editeur: Nintendo

Sortie JAP: Juin 1993
Sortie US: Août 1993
Sortie Europe: Décembre 1993

Ecrit le 10-03-2004 par Iphnir


Certe, un dossier existe déjà sur le site, fait par moi-même en plus. Mais je ne peut pas résister à l'envie de vous pondre une petite review - claire, nette et précise - sur ce qui fut mon premier Action-RPG, et accessoirement l'un de mes premiers jeux tout court. Mais au délà de l'aspect nostalgique et personnel que je voit dans ce Zelda, il y'a également un excellent jeu, agréable, envoutant, aux graphismes mignons et colorés, et à l'intêret exceptionnel... Tellement bon, qu'une version couleur (rebaptisé "Zelda DX" pour l'occasion) verra le jour six années plus tard, octroyée d'un Donjon supplémentaire et de quelques petits plus (dont je ne parlerais pas tellement ici, n'ayant eu l'occasion de jouer pleinement à cette nouvelle version).



Même si ce titre est bien éloigné de la série, de par la disparition (provisoire, on retrouvera tout ça aux prochains épisodes) de la TriForce, ou encore de la traditionelle Princesse Zelda à sauver des griffes de Ganondorf, l'esprit initial reste présent, notamment dans le gameplay et l'univers en lui-même. Mais intéressons nous d'abord à l'histoire, et à ce petit Elfe dénommé Link, qui après avoir vaillament défendu Hyrule, était partit en des contrées lointaines afin de méditer. Seulement, lors de son retour en bateau vers sa Terre Natale, les vents s'agitèrent, et une tempête se déclencha. En vain, notre petit héros à la capuche verte et aux grandes oreilles tenta de ne pas chavirer. Mais la tempête fut plus forte que lui, comme quoi, on a beau s'appeler Link, on ne résiste pas à tout... Ce sont les paroles d'une jeune fille qui le tireront de son long sommeil, une dénommée Marine, qui l'a recueilli sur la plage, et logé jusqu'à son réveil. C'est en allant chercher votre épée sur la plage un peu plus tard, que vous comprendrez le pourquoi du comment. Un mystérieux hibou (que vous recroiserez plusieurs fois dans l'aventure) vous expliquera en effet que des monstres ont depuis peu envahis l'île de Cocolint sur laquelle vous vous trouvez, et qu'un certain Poisson-Rêve n'attend que vous pour être réveillé, et ainsi vous dévoiler le secret qui entoure la petite île... Mais comment le réveiller ? En récupérant les huits Instruments de musiques, dispersés dans les huits donjons situés aux quatres coins de l'île...




Mine de rien, l'histoire est franchement sympathique, soutenue par un univers génial. En effet, l'île de Cocolint est assez grande à visiter, et est en plus divisée en plusieurs régions (marais, montagne...), ce qui amène une certaine variété non-négligeable. Evidemment, les graphismes jouent un grand rôle dans cet opus. Alors c'est sûr, ils ne sont pas extraordinaires non plus, mais il faut avouer que le jeu s'en tirait plutôt bien lors de sa sortie, avec des graphismes détaillés, des personnages mignons comme tout, et des animations sympatoche. Il se payait même le luxe de nous offrir quelques "cinématiques" (le mot est grand, mais c'est bien représentatif) ! Quand à la version DX (couleur), ce n'est pas comparable. Si les graphismes restent les mêmes dans le fond, l'ajout de la couleur rend le tout plus vivant, et par conséquent, bien mieux.
La musique fait également partie intégrante de l'immersion, et l'on ne peut pas être déçu par celle de Link's Awakening. Certes, elle ne contient pas réellement de thèmes mémorables (mis à part celui du Poisson-Rêve, tout simplement sublime), mais elle rythme bien l'aventure, même si l'on pourra se plaindre du processeur sonore de la GB, pas au top, comme toujours.

Côté gameplay, rien de bien compliqué, on peut même dire que tout est d'une simplicité effarante, ce qui reste logique, vu le peu de possibilité de la GB. Ainsi, vous disposez d'un inventaire, dans lequel vous amasserez au fur et à mesure de l'aventure, tout un tas d'objets divers et variés. Il vous est possible d'assigner un objet au bouton A, et un autre au bouton B, chaque objet ayant une fonction différente, certains vous permettant même d'acceder à de nouveaux endroits, selon votre avancée dans l'aventure. Parmis ces objets, on retrouve bien sûr les grands classiques, tels l'épée, le bouclier, les bottes de Pégases, etc., que vous trouverez en explorant les Donjons à la recherche des Instruments; mais également des petits nouveaux, spécifique à cet opus (le Yoshi, le ruban...). Ceux-ci servent principalement l'une des quêtes principales du jeu, qui consiste à échanger des objets de personnages à personnages jusqu'à obtenir l'une des meilleures armes du jeu. Comme vous le comprenez, quelques quêtes annexes sont présentes (les coquillages, les classiques quarts de coeurs...), ce qui tend forcément à rallonger la durée de vie du titre, qui était déjà très honorable pour une portable. D'autant plus que la version DX contient un Donjon supplémentaire ainsi qu'une quête supplémentaire (celle des photos).




Comme vous le voyez, il n'y a pas tellement à dire sur ce Zelda. Sans doute parce qu'il reste moins profond que les jeux qui sortent actuellement, aussi bien niveau graphismes, que système de jeu. Et pourtant, il n'en reste pas moins un jeu extraordinaire. Des graphismes superbes pour une portable (pour la version DX, tout du moins), une histoire qui ne paye pas de mine, mais qui accroche du début à la fin, des musiques convainquantes, un nombre de personnages effarant, plusieurs quêtes annexes très sympas, une jouabilité simple, mais sans défaut... Les points positifs se comptent à la pelle. Bref, nous voilà face à un must. Point barre.



Note Finale: 19 / 20


 
RPG Kingdom | Le royaume des RPGs RPG Kingdom | Le royaume des RPGs